BIEN CHÈRES TOUTES, BIEN CHERS TOUS,
À la demande d'une de nos participantes, abordons le délicat et vaste sujet de la SOLITUDE.
Je vous renvoie naturellement à la chanson célèbre de Moustaki, "ma solitude" pour vous en inspirer...
Croyez-vous que la solitude soit plus douloureuse durant l'enfance ou l'adolescence qu'à l'âge mûr, par exemple ?
Sommes-nous au fond, malgré notre capacité à nous enrichir et progresser grâce aux autres en tant qu'êtres sociaux, profondément seuls aux moments cruciaux de la maladie, la souffrance ou de la mort par exemple ?
Pourquoi existe-t-il des personnes projetées malgré elles dans la solitude et d'autres qui attirent tout un chacun ?
Comment se trament les solitudes forcées ?
Les solitaires font-ils peur ?
Y a-t-il des solitudes enviables ? Lesquelles ? Comment conquérir les solitudes désirées ?
Le dicton affirme qu' "il vaut mieux être seuls que mal accompagnés", est-ce une piètre consolation ?
Que raconter de ces solitudes au sein du groupe? Pour quelles raisons ? (divergences de points de vue, lassitude du tourbillon, aspiration à une authenticité de relation, insatisfaction profonde de la pression exercée par le groupe...)
Sans moments de solitude, est-il possible de se retrouver, de cultiver l'imaginaire, de créer ?
Obervez-vous une évolution sociétale dans nos pays de la considération, de la gestion, de la qualité de la solitude ?
Que dire de ces lieux solitaires des régions désertées de la ruralité d'antan ? Pourrait-on en faire quelque chose ?
Plusieurs solitudes réunies en font-elles un antidote ?
La solitude considérée problématique doit-elle passer nécessairement par le ressenti douloureux ?
Peut-on encore revendiquer le droit à choisir d'être seul ?
Comment trouver au contraire des solutions pour ne plus se sentir seul ?
Nous en parlerons...ensemble !
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